Voyage En Belgique, Vers L’Enfer. (15/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

« Tu es sa compagne, c’était à toi de pallier sa carence. »
« Mais je ne suis pas sa compagne, il m’héberge, car je n’avais pas de domicile. »
« Tu es bien en cloque, regarde ton ventre, tu es déjà à 4 mois. »
« Non, j’ai vu un gynécologue et j’ai une photo de mon ventre où il n’y a pas de bébé, en plus, il a toujours mis une capote. »
« Pauvre gourde, le coup de la capote, il est connu depuis des lustres, il a percé ses capotes avec une épingle et chaque fois qu’il te remplissait la chatte, il t’envoyait un maximum de spermatozoïdes, ils font cela pour s’amuser et dès qu’ils sont sûrs qu’ils vous ont engrossés, ils disparaissent.
Viens avec moi, je connais un spécialiste qui va te dire, si tu es enceinte. »

• Deux heures après, j’avais dans les mains une photo montrant un bébé qui vivait dans mon ventre et que l’on m’avait montré à l’écran.
Pour l’homme, j’étais la seule caution qu’ils avaient pour récupérer leurs argents, j’ai été obligé de le suivre, il m’a placé chez des personnes qui devaient m’assister jusqu’à ce que mon bébé vienne au monde.
Il m’a fait signer des papiers pour obtenir l’allocation de mère célibataire. Hélas, ce que j’ai signé, d’une façon frauduleuse, c’est une reconnaissance de la dette de mon pseudo compagnon.
Dès que mon fils est né, il a été confié à des personnes et j’ai été envoyée en Belgique pour payer ma dette en me prostituant.
C’est en Belgique que j’ai sue que l’homme qui m’avait piégé, c’était Pierre, ton ex-mari, il m’a contraint plusieurs fois à coucher avec lui, même si je n’en avais pas envie.
Toutes les quatre semaines, je récupère mon fils comme toutes les autres filles pour un week-end.
Il a beau être l’ d’une tromperie pour me conduire ici, c’est mon fils et je l’aime.
• Je te comprends, je vis la même chose que la tienne, mes s me manquent surtout depuis que j’ai compris que ma fille est en pleine forme.


Ce qui me fait le plus mal, c’est que mon fils soit élevé par mes beaux-parents dans le culte de la haine des femmes en vue qu’il reprenne la succession de Pierre, cet être immonde.

Nous nous endormons bien fatigués.

Nous avons fini notre semaine à Gand, Pierre est venu nous emmener à Valenciennes, a-t-il eu peur de conduire les cinq femmes qui sont les premières à se rebeller contre son autorité, car il s’est fait accompagner par ses deux malabars
Avant de partir, je suis passé voir ma maman, je lui ai dit que j’avais été contente de la retrouver, je lui aie promis de faire très attention avec ces hommes qui sont prêts à tous pour conserver leur pouvoir.
À Valenciennes, je pars à la gare avec une envie de crier ma joie, je prends le train avec le billet qu’un des malabares m’a remis.
Je retrouve mes s dans un hôtel comme il avait été prévu à la signature du contrat avec Hugo, ma liberté absolue en moins, mais j’expliquerais ce que j’ai fait avec eux dans les lignes suivantes qui seront plus explicite de ce que nous faisons après nos retrouvailles.

Les filles ne m’avaient pas trompé le lundi quand je rejoins les filles pleines de bonheur malgré le temps trop court, c’est le malabar toujours aussi muet qui nous attend avec la camionnette 9 places, pour une fois Noémi est à l’heure, elle a dû craindre une grosse représaille suite à notre incartade de Gand.
Le bordel est construit sur le même modèle que celui ou maman officie, ici la tenancière s’appelle Marie, bizarre pour une dame de petite vertu, comme maman auparavant, elle aussi faisait monter des clients.
Dès que l’on arrive, elle minaude.

• Bonjours mesdames, bien venue à Bruxelles, vous avez fait bon voyage, bien venue dans l’établissement que monsieur Pierre m’a confié.
Noémi et Annabelle, conduisez les filles en haut et installé vous.

Les chambres ont été nettoyées et nous nous installons, lorsque nous redescendons, l’homme n’ait plus là, mais madame Marie, malgré son nom plein de douceur affiche d’entrer la couleur, elle est encadrée de deux hommes du même modèle que ceux de Gand.


• Mesdames, J’ai reçu ordre du patron d’arrêter la machine à bite que vous voyez ici après vos exploits dans notre autre maison, je respecte cette décision, mais ici c’est moi qui commande, je ne tolérerai pas que mon autorité soit contestée, avant d’aller manger, avez-vous quelque chose à ajouter ? »

Après ce qu’elle vient de nous dire, elle est persuadée qu’aucune de nous ne va la ramener.
Noémi s’avance et contre toute attente, elle prend la parole.

• Madame Marie, nous vous respecterons si vous nous respectez, depuis que je viens ici, j’ai toujours constaté que des 3 bordels où nous travaillons, vous étiez la plus aigrie contre les femmes.
Il semble que vous vouliez vous venger sur nous à cause de ce qui vous êtes arrivé dans cet établissement, ce ne seront pas vos deux molosses qui vous protégeront contre nous cinq si l’on vous saute dessus pour vous crever les yeux.
Annabelle, fais-lui voire ce que nous sommes prêts à faire, si elle nous casse les burnes.

Comme à Gand, elle prend une bouteille qu’elle fracasse montrant le tesson dans sa main.

• Tu vois salope, si tu nous respectes, tu vas passer les semaines avec des filles travailleuses, des gagneuses comme il n’a jamais eu à Bruxelles.

Je me suis préparé à attaquer, mais madame Marie est devenue toute douce.
Que puis-je dire de plus sur la semaine à Bruxelles !
Qu’Alice devient de plus en plus professionnelle, que ma présence auprès de Nadège lui remonte le moral !
Qu’avec Annabelle et Noémi, nous sommes de plus en plus complices, pour aider les filles pour l’après travail dans leurs couches respectives, aucune des petites n’est oubliées, du moins les plus fragiles, nous savons aussi nous dégager du temps pour nous baigner en nous caressant, nous sucer les seins et les clitos, bref nous sommes bi, souvent par obligation, lesbiennes dans ces moments qui nous appartiennent.
Donc, nous continuons tous les matins à nous donner du plaisir avant d’attaquer les heures de passes !
Pendant la période, je suis monté avec trois jumeaux qui m’ont explosés et avec qui j’ai joui énormément !
Le temps a passé rapidement comme à d’Anvers où tout a été calme, les deux tenancières ont dû correspondre, à Anvers, la vieille pute nous déroule un tapis rouge dès notre arrivée.

Ce matin, un des surveillants nous ramène à Valenciennes. Nous nous séparons en nous disant à lundi au même endroit.

C’est maintenant, avec plus de détails, que je vais vous parler du déroulement de ce week-end, à un détail près en rapport des deux premières fois.
Dans l’après-midi, j’arrive dans ma chambre d’hôtel, lorsque j’ouvre mes deux s sont là, ils me sautent au cou, quatre week-ends sans les voire étant enfermés, je les emmène faire une promenade et leur offre une grosse glace avec l’argent que l’on nous a donné.
Le soir, ils partent avec un pincement au cœur.
Au restaurant, je dîne avec à la table d’à coté un homme très bien mis avec une grande prestance.
Je me méfie de tout et de tous, je suis sûr que Pierre a tous prévus et que je suis surveillé, mais, j’ai fait une promesse à Marjorie de l’aider jusqu’à la mort.

• Je vois que vous êtes seule.
• Oui, je suis venue voir mes s qui habitent chez mes beaux-parents.
Et vous ?
• Je suis là pour trois jours, j’ai perdu ma femme, il y a deux ans, j’ai une entreprise en région parisienne où nous habitions, elle était originaire de la région et admirative de Georges Brassens qu’elle écoutait en boucle toute la journée.
Lorsque la maladie l’a emporté, j’ai réussi à ce qu’elle ait une sépulture près de ce grand monsieur, je viens plusieurs fois par an être auprès d’elle.

Le repas se termine et nous rejoignons nos chambres, la chance est avec moi, je le vois ouvrir la porte de la chambre contiguë à la mienne.
Je suis installé devant ma télévision, fenêtre ouverte une idée impensable monte en moi, quand j’entends aussi sa télé par sa porte-fenêtre ouverte elle aussi.
Chaque fois que la balance penche vers le « oui » aussitôt le fléau revient vers le « non »
Vers 23 heures la nuit tombe.
Le « oui » arrive définitivement à l’emporter, je monte le son de la télévision pour faire croire à ma présence.
Je suis vêtu d’une tenue qui me permet de ne pas être entravé dans mes mouvements.

Ma chambre se situe au deuxième étage de l’hôtel, je pense qu’elle a été choisie pour qu’il soit impensable de m’échapper à une telle hauteur.
Je sors sur mon balcon et à l’aide d’une chaise, je veux passer sur l’autre balcon, je mets mal mon pied et je suis à deux doigts de plonger jusqu’en bas, je me rétablis et atterris sur l’autre balcon.
Comme je l’espérais afin de rester discrète, la fenêtre de la chambre est ouverte, je me glisse à l’intérieure aussi silencieuse qu’une chatte, je suis très près du lit, la lune qui s’est levée me permet de voir l’homme allongé sur le lit, il dort paisiblement. Comment le réveiller sans le faire mourir d’une crise cardiaque ?
Il ne faut pas que je traîne pour retourner dans ma chambre.
Je viens à la hauteur de ses oreilles et en parlant doucement je lui dis

« Monsieur »

Il émet un petit grognement et se tourne sur le côté.

« Monsieur »

Un peu plus fort.

• Oui qu’est-ce que c’est ?
• C’est votre voisine.

Mal réveillé, il s’assoit cherchant qui lui parle, son réflexe est d’allumer.

• Je vous en supplie, n’allumez pas.
• Que voulez-vous ?
• Je peux vous raconter une histoire qui me touche et dont vous pouvez m’essayer à en sortir, mais attention, ma vie comme la vôtre peut être grave danger.
Je sais le risque que je vous fais prendre, mais vous m’avez donné l’impression d’être un homme bien.
• Je vous écoute…

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